"Il y a des instances", s'est défendu le chef de l'Etat. J'ai dit à Brian Cowen combien j'étais désolé pour eux. "Ne me demandez pas de me substituer à l'arbitre, aux instances du foot français, aux instances du football européen. Laissez-moi à ma place", a-t-il rétorqué.

Ce n'est "ni au gouvernement français ni au gouvernement irlandais de s'immiscer dans le fonctionnement de la Fédération internationale" de football, avait déclaré François Fillon à la presse, un peu plus tôt dans la soirée.