« On peut dire que les problèmes politiques de la Grèce peuvent finir par avoir un effet positif sur leur Coupe du Monde. C'est un problème psychologique pour les joueurs », a affirmé Wenger au journal britannique "Telegraph".

Wenger compare la situation actuelle en Grèce avec celle de l'Italie en 2006. Les futurs champions du monde avaient été touchés, un temps, par le scandale de corruption qui avait éclaboussé la fédération Italienne avant le début de la compétition.

« Ce serait un soulagement pour les Grecs, comme cela a été le cas pour les Italiens, il y a quatre ans. Malgré la crise dans le football italien, la Squadra Azzurra a gagné la Coupe du monde », a-t-il conclu.